Critiques inutiles

Puisque j'ai commencé la séquence nostalgie avec ma chronique précédente sur The Only One I Know de The Charlatans , je poursuis avec un autre titre qui vient juste de fêter ses 30 ans également, à savoir World in Motion de New Order , ou plutôt England New Order en l'occurrence !!! En effet, il ne s'agissait ni plus ni moins que de la chanson officielle de l'équipe d'Angleterre de football pour le Mondial 90 en Italie. A l'origine de ce projet, on trouve le chargé de presse de l'équipe nationale anglaise qui, étant fan de Joy Division , a demandé à Tony Wilson , le patron de Factory, si New Order pouvait composer l'hymne et il a accepté. C'est d'autant plus étonnant qu'aucun des membres du groupe n'était fan de foot. Comme ils l'avaient d'ailleurs dit dans une interview aux Inrocks (oui, je lisais les Inrocks à l'époque), seul Ian Curtis aimait le foot !!! Quelques joueurs vont participer à l'enregistrement, Peter

The Only One I Know est le deuxième single sorti par The Charlatans après Indian Rope . Et comme il vient juste de fêter ses 30 ans (il est paru le 14 mai 1990), c'était l'occasion d'en parler puisque, justement, il ne fait pas son âge. Comme le disait à l'époque Tim Burgess , le chanteur du groupe The Charlatans are necessary and necessary is something you can't do without. Sans aller jusque là, il serait dommage de passer à côté de ce titre (et de ce groupe). En fait ce titre a été écrit l'année d'avant en un week-end, en même temps que Indian Rope et Sproston Green , à priori un dimanche ce qui expliquerait l'importance de l'orgue Hammond dans ces morceaux, une des spécificités du son du groupe. A l'époque, leur volonté était d'éclabousser le monde avec de la couleur et de l'optimisme en mélangeant l'acide house et le son des sixties, tout un programme. Les influences pour The Only One I Know vont, toujours selon Tim Burgess ,

Nous voilà donc enfin arrivés à la fin de cette période de confinement. C'est donc l'heure d'un retour à la normale (ou presque). Pour ma part j'ai cependant apprécié de pouvoir redécouvrir une partie de ma discothèque ces dernières semaines et de pouvoir partager ici mes retours sur ces 50 disques Si cela vous a intéressé et si vous souhaitez que je poursuive l'expérience (peut être à un rythme moins soutenu néanmoins) en plus des chroniques sur les nouveautés, n'hésitez pas à me le dire en commentaire. Après tout, je n'ai exploré qu'environ 5% de mes disques, ce qui laisse un peu de marge. Et tout autre retour ou commentaire est aussi le bienvenu. En attendant prenez soin de vous et à bientôt.

Voilà peut être enfin la dernière semaine de confinement strict et du coup peut être la fin de mon défi . Mais ça va me donner encore l'occasion de redécouvrir quelques disques de ma discothèque. Jour 1 On commence la semaine avec Receiver , le troisième album du groupe new-yorkais DIIV , paru en 2019. Le groupe a quant à lui été fondé en 2011 par un transfuge des Beach Fossils . De même qu'on ne juge pas un livre à sa couverture, on ne juge pas un disque à sa pochette et heureusement parce que celles de DIIV ne sont pas vraiment engageantes. Cela dit ça va plutôt bien avec l'ambiance assez sombre du disque bien que le thème soit plutôt la rédemption. Je suis content que le hasard ait désigné cet album car j'avais voulu faire une chronique dessus lors de sa sortie et j'en ai donc maintenant finalement l'occasion. J'avais d'ailleurs choisi un morceau de cet album dans mon Sound of 2019 . DIIV fait partie de ces groupes qui contribuent à la

Le confinement se poursuit (hélas) et avec lui mon défi , qui en est lui maintenant à sa 6ème semaine. C'est donc reparti pour au moins 7 nouveaux disques tirés au hasard ... Jour 1 Un peu de chanson française pour débuter cette semaine avec l'album Marcher dans le sable de Gérald de Palmas . Il s'agit de son troisième album sorti en 2000 et qui lui a valu la consécration, un disque de diamant et des récompenses aux Victoires de la musique (artiste masculin de l'année) et au NRJ Music Awards (album francophone de l'année). Il faut dire que De Palmas n'a pas fait les choses à moitié puisque les paroles du premier single issu de cet album, J'en rêve encore , sont signées par Jean-Jacques Goldman et celle du troisième, Tomber , par Maxime Le Forestier , rien de moins. Cette dernière se verra même adapter en anglais par Céline Dion . Ce qui est intéressant avec Gérald de Palmas , c'est qu'il a son univers et son style pop-rock-folk mais