Franz Ferdinand - Always Ascending (2018)
Après Simple Minds, pour rester dans les groupes écossais célèbres, passons à Franz Ferdinand et Always
Ascending.
Si comme tout le monde je connais leurs tubes (en même temps,
comment ne pas connaitre Take Me Out ?) mais je n’avais jamais
acheté leurs albums même si l’iconographie soviétisante de You could
have it so much better aurait pu me tenter.
Il n’y avait donc
pas de raison que j’achète cet album mais, marketing et collectionnite aidant,
j’ai fini par craquer pour le vinyle transparent (mais avec téléchargement) en
série limitée … Restait donc à mettre la précieuse galette sur la platine.
On ne va pas se
mentir, la première écoute ne m’a pas particulièrement enthousiasmé.
Sympa mais
sans plus. Mais il faut toujours donner une deuxième chance à un disque (enfin,
presque toujours parce que bon, les reprises de Chaton, les écouter déjà une
fois tient du miracle ... d'ailleurs, si tu aimes, tu as dû te tromper de blog).
Bref, plus sérieusement, j’ai
réécouté ce Always Ascending, peut être dans de meilleures
conditions ou dispositions et même si ça n’a pas fait de moi un fan qui s’est
rué sur la totalité de leur discographie, il faut reconnaitre que c’est bien
foutu au point qu’à la fin de l’écoute, on en arrive à se dire que c’est bien
sympa et qu’on ne s’en lasse pas.
Pourtant là aussi, il y a pas mal de styles
différents (donc tout le monde devrait y trouver son bonheur ou presque) mais
ça passe bien, peut être aussi à cause de la construction des chansons avec
souvent des variations de rythme.
Le seul vrai
bémol de cet album est peut être l’absence d’un tube fédérateur, celui qui fait
acheter l’album (enfin, à ceux pour qui un album veut encore dire quelque
chose).
Alors je ne peux
pas comparer avec ce qu’ils faisaient avant, il parait qu’il y a maintenant
plus d’électronique et moins de guitares (pourtant j’ai trouvé qu’il en reste
pas mal).
Finally,
une vraie bonne surprise qui a déjà tourné un bon paquet de fois et quel final
sur Slow Don’t Kill Me Slow.
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